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Ecoutes-moi bien toi...
15/12/2007 05:32
Donc on alla voir Richard Anthony pour lui expliquer deux trois trucs...
Je lui dis à peu près ces mots-là : Ecoutes-moi bien toi... T'as peut-être les boules de voir ces deux-là se marier, mais c'est pas une raison pour manquer de respect de la sorte. je pensais que tu comprendrais en voyant les gens qu'il y avait autour de toi, mais bon apparemment t'as pas compris... Alors moi et mes potes on va devoir t'expliquer deux trois trucs. Tu pourrais nous suivre s'il te plait ?
On l'amena dans un coin tranquille et on joua au jeu qui s'appelle " ta gueule c'est un mur et on doit le repeindre en rouge "
On le revit plus une seule fois de la soirée, je pense qu'il avait compris la leçon.
J'appris plus tard qu'il avait déménagé au Portugal et qu'il avait épousé une sandale, mais bon on s'en branle de tout ça.
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Qu'est ce qu'il fous là lui ?
15/12/2007 05:51
Une fois le problème de Richard Anthony réglé, je remarquais parmi les convives un chauve que j'avais déjà vu un jour :
Su le coup je me dis : " Putain, c'est Bruce Willis ! Oh putain je suis excité comme une petite pucelle ! Olala par contre il est beaucoup plus chauve et il a grossi ! Puis après mûre observation, il s'avera que c'était pas lui :
c'était Gerald Siebenundvierzig !
Pourquoi étais-je surpris de le voir invité au mariage ?
Hé bien en fait si vous vérifiez un peu plus haut, vous remarquerez qu'il fut un garde du corps de Juan Pé. Il était le cousin par alliance au 4ème degré de la soeur à la fille du gars qui un jour a vu les couilles de Jean Paul Belmondo. Un jour il voulut s'inscrire à Meetic et demanda à Juan Pé si il pouvait avoir l'abonnement gratuit. Mais Juan Pé refusa, lui expliquant que si il le faisait pour lui, il devrait le faire pour tout le monde, et la supercherie serait divulguée. Ils passèrent une soirée entière à se disputer , puis finalement Gerald décida de démissionner et ainsi quitter la famille.
Il ne faisait plus partie de la famille, et pourtant il était invité au mariage. Etrange...
Mon instinct me dis que cela cachait quelque chose, quelque chose de gros même...
Je demandais à Gouinette de l'espionner durant la soirée.
Elle me rapporta qu'il avait été invité effectivement, pas du coté de la famille Mentana, mais du coté des Yakuzas !
Il était donc en relation avec les yakuzas ? Mais à quel degré ? était-ce juste parce qu'il avait un quelconque lien de parenté, ou alors travaillait-il pour eux ?
En tout cas, tout ça ne sentait pas bon....
Je laissai de coté mes soupçons, et la soirée se termina par une surprise pour tous : Yong-Fu-Meoh annonça qu'il prenait sa retraite et qu'il passait la main à son fils pour diriger les Yakuzas ! On applaudit après un beau discours, on bouffa, on boiva, pis après j'éttais bourru et je gerbis.
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Les derapages de Ho-Jing-Yen
17/12/2007 01:51
Les mois passèrent, et la guerre entre les Mentana et les Yakuzas semblait éteinte pour toujours.
Mais un jour, un des soldats de la famille rapporta une photo :
On voyait sur la photo Ho-Jing-Yen embrassant une somptueuse Geisha, qui était apparemment la seconde petite fille de la belle-mère du frère de Mao Zedong. Et Dolores est à coté de lui impuissante devant ses envies perverses de yakuza !
A la vue de cette photo, le Don demanda deux hommes pour surveiller leurs faits et gestes nuits et jours.
Tony me demanda si je pouvais m'en charger, alors j'envoyai Dodo et Gouinette s'en charger ( C'est bon quoi, je vais pas me faire chier à surveiller des gars toute la journée ! )
Ils rapportèrent que Ho-Jing-Yen avait de nombreuses aventures extra-conjugales, dont certaines avec de belles célébrités comme par exemple Milla Jovovich, Monica Belucci, Frank Sinatra ou encore Maïté.
Ce jeune prétentieux de jeune chef Yakuza pensait pouvoir humilier ansi la fille du Don, par conséquence toute la famille Mentana ? C'était mal connaître cette noble famille...
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La réunion
17/12/2007 05:11
Le lendemain même le Don organisa une reéunion avec ce pervers d'Ho-Jing-Yen pour lui expliquer que ses escapades extra-conjugales étaient très mauvaise pour les relations avec la famille.
Il manquait de respect aux Mentana en trompant la fille du Don à tire-la-rego !
Bref la réunion fut donnée deux jours après que Manolo sortait de prison. Il pouvait à nouveau s'occuper des affaires de la famille. c'est lui qui organisa la sécurité de la réunion. Enfin il assista à la réunion, ce qui était amplement suffisant comme sécurité, même si ils se ramenaient à vingt, et avec des katanas.
Ils n'arrivèrent pas à vingt, mais une bien autre surprise nous attendait :
En effet, Gerald Siebenundvierzig arriva avec Ho-Jing-Yen. Il expliqua qu'il était son nouveau garde-du-corps.
Mais moi j'aimais pas ça. Déjà j'avais jamais pu l'encadrer. Le peu de fois que je l'ai vu à la propriété Mentana, il ne m'inspira pas confiance une seule seconde. En même temps c'est tout à fait normal, c'est un surement un allemand.
bref le Don expliqua à Ho-Jing-Yen qu'il devait immédiatement cesser toutes ses parties de jambes-en-l'air avec d'autres que sa femme.
En effet une vieille croyance d'Espagne profonde qui disait à peu-près ces mots :
Si tu hija tiene unos cuernos que pone El Grande Toro Andaluz celoso, pues cuidate, que puede pincharte.
En gros si ta fille se fait tromper, tu risque de l'avoir dans le cul.
Ho-Jing-Yen annonça qu'il essaierait de faire de son mieux possible pour arrêter. La réunion fut close.
Moi c'est Gerald qui me disait rien de bon. Je demandai à Gouinette de suivre les activités de ce Gerald, afin de mettre à jour son veritable rôle au sein des Yakuzas...
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La goutte d'eau qui fait deborder le vase
05/03/2009 16:04
Quelques semaines plus tard, alors que j'étais tranquillement en train de regarder le nouveau blockbuster du ciné porno avec José en guest-star, intitulé : " Un cul est un cul, mais le tien compte pour deux " , Tony entra soudainement dans la pièce tel un ouragan sur la Nouvelle-Orléans.
Il me dit, sur un ton laissant deviner son bouillonnement neuronal de type " chui super super super énervé " :
" Remontes ton pantalon, essuies la table et regardes cette photo que vient de m'envoyer Juan-Pé ! "
Sur la photo, on pouvait apercevoir Ho-Jing-Yen et Gerald Siebenundvierzig à l'interieur de la boîte "Le chalet du joyeux petit Gay" , qui est réputée pour son ambiance conviviale et très masculine, l'air jovial et amoureux.
Tony haussa le ton, hurlant que si ce putain de bridé voulait se foutre de la gueule de sa soeur et de la famille, il pourrait pas faire mieux.
Il me confia la mission de déclencher les hostilités avec les Yakuzas, d'engager un tueur pour tuer quelqu'un afin qu'il soit mort.
Il fallait que ça provoque la zizanie au sein des Yakuzas, qu'ils chient dans leur fût et qu'ils voyent qu'il faut jamais sous-estimer un mafieux andalou. De plus je serais grassement payé.
Je me mis donc à l'ouvrage, le sang aussi froid qu'un picard surgelé qui aurait prit des vacances dans un village de pingouins au pôle Sud.
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